Le but est d'infiltrer la Fabrique nationale de la monnaie et du timbre afin d'imprimer 2,4 milliards d'euros, en moins de onze jours et sans verser une goutte de sang – malgré la présence de 67 otages, dont la fille de l'ambassadeur du Royaume-Uni.
Avis :
J'ai rarement regardé des séries espagnoles, je suis (bizarrement) plus axée séries américaines mais il faut avouer que La Casa de Papel change des séries américaines de base.
L'histoire parle d'un homme, Le Professeur, qui décide d'organiser le plus grand casse de l'histoire en infiltrant la Fabrique nationale de la monnaie et imprimer plus de deux milliards d'euros. Pour cela, il va recruter les huit meilleurs malfaiteurs du pays, prénommés selon des noms de grandes villes. Ils vont prendre plus de soixante personnes afin de réaliser leur grand coup de maître.
Faire une série sur un braquage c'est quelque chose d'assez banal, mais la série possède une mise en scène particulièrement soignée, une bande son travaillée, une tension qui monte crescendo et un rythme soutenu. L’ambiance est donc un des points positifs de la série avec un climat particulier, agrémenté d'une certaine dose d’humour qui permet de contrebalancer le côté sombre de la série.
Les espagnols montrent grâce à cette série qu'ils peuvent réaliser des séries de haut vol et n'a vraiment rien à envier aux américains. La mise en scène est dynamique et place chaque spectateur au cœur de l'action, ce qui m'a fait dévorer la saison 1 en espace d'une semaine. Les flashbacks sont justement dosés et apportent beaucoup à l'histoire sans perdre le spectateur. Le côté espagnol de la série donne un certain charme à la série qu'il n'y aurait pas eu si ça avait été une série US.
Les espagnols montrent grâce à cette série qu'ils peuvent réaliser des séries de haut vol et n'a vraiment rien à envier aux américains. La mise en scène est dynamique et place chaque spectateur au cœur de l'action, ce qui m'a fait dévorer la saison 1 en espace d'une semaine. Les flashbacks sont justement dosés et apportent beaucoup à l'histoire sans perdre le spectateur. Le côté espagnol de la série donne un certain charme à la série qu'il n'y aurait pas eu si ça avait été une série US.
Les personnages sont à l'image de la série, et les flashbacks permettent d'en savoir plus sur eux et les rendent plus accessibles aux spectateurs, non seulement pour voir comment le Professeur a pu tout prévoir mais aussi pour développer les relations entre ces braqueurs et faire comprendre leur véritable personnalité aux spectateurs. Ils ont tous une réelle personnalité sans pour autant être caricaturés au possible et ont qu'une histoire et une psychologie propre qui les rendent ambigus. Les plus 'méchants' seront au final touchants, attachants et très charismatiques. Les acteurs, inconnus au bataillon, sont tous excellents dans leur interprétation.
Chaque personnage est important et à son rôle à jouer et aucun n’est laissé pour compte a aucun moment, le casting est réellement brillant, j’ai une grande admiration pour l’interprétation de Berlin par Pedro Alonso. Mention spéciale à l'acteur qui incarne le professeur, qui joue au jeu du chat et de la souris avec Raquel, l'inspectrice, les deux cherchant à savoir qui aura une longueur d'avance sur l'autre, ce qui m'a fait penser à Prison Break, Le Professeur ressemblant au génie de Michael Scofield et Raquel à Mahone. La chasse à l'homme prend des tournures incroyables au fil des épisodes, ce qui m'a rendue dingue tant le Professeur est à deux doigts de se faire pincer à chaque fois.
En tout cas, je suis contente que Netflix propose des séries comme la Casa De Papel qui sont extraordinaires et différentes des séries américaines qui deviennent redondantes.
Chaque personnage est important et à son rôle à jouer et aucun n’est laissé pour compte a aucun moment, le casting est réellement brillant, j’ai une grande admiration pour l’interprétation de Berlin par Pedro Alonso. Mention spéciale à l'acteur qui incarne le professeur, qui joue au jeu du chat et de la souris avec Raquel, l'inspectrice, les deux cherchant à savoir qui aura une longueur d'avance sur l'autre, ce qui m'a fait penser à Prison Break, Le Professeur ressemblant au génie de Michael Scofield et Raquel à Mahone. La chasse à l'homme prend des tournures incroyables au fil des épisodes, ce qui m'a rendue dingue tant le Professeur est à deux doigts de se faire pincer à chaque fois.
En tout cas, je suis contente que Netflix propose des séries comme la Casa De Papel qui sont extraordinaires et différentes des séries américaines qui deviennent redondantes.
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