C'est lundi que lisez-vous ? #16


Ca faisait un petit moment que je n'avais pas fait un petit C'est lundi que lisez vous, et je me suis dit que ce serait top de reprendre les bonnes habitudes. 

Pour rappel, C'est lundi que lisez-vous ? est un rendez-vous littéraire qui fait le point sur nos lectures de la semaine passée, la/les lecture(s) en cours et notre/nos future(s) lectures.

La semaine dernière, j'ai lu...

La soif d'aventure. C'est ce pour quoi j'ai vécu. Élevée dans une réserve amérindienne au cœur des États-Unis, je ne savais pas à quoi ressemblait le monde réel. Je n'étais pas comme les autres femmes de notre réserve. Ma mère et mon père le savaient quand je suis née. Ils m'ont appelée Catori, ce qui signifie "esprit" en comanche.

Mon père m'a regardée dans les yeux et a su que je n'étais pas faite pour la vie d'épouse et de mère. Je suis partie le jour de mes dix-huit ans. J'ai fait tout le chemin jusqu'à la côte Est où j'ai rencontré Adam. Le premier homme qui allait changer ma vie. Il m'a épousée et m'a donné une fille, mon Evie. Mon soleil d'or. Adam et moi nous comprenions. Nous avons convenu de nous séparer librement et je suis partie pour aller découvrir le monde.

Ma fille entre les mains sûres de mes parents. Jusqu'à ce que je rencontre Ian. Aussi sauvage que le vent, il m'a emportée. Il m'a donné une fille. Suda Kaye. Adam a accepté cet enfant comme le sien et nous avons décidé de nous aimer les uns les autres comme une famille. Je suis repartie parcourir le monde, seules mes filles me faisaient revenir à la maison de temps à autre. Dans un dernier effort pour être la mère qu'elles n'ont jamais eue, j'ai écrit à mes filles. Une lettre chacune à ouvrir à partir de leur dix-huitième anniversaire, et ce pendant dix ans.

Aujourd'hui, je veille sur elles et je sais qu'elles le ressentent...


"Je suis l’Invocatrice de lumière. Et je suis votre dernière chance."

DÉVOTION. REMORDS. MARTYR.

Un pays déchiré par la guerre civile.
Une jeune femme idolâtrée, rongée par ses propres pouvoirs.
Un corsaire flamboyant et mystérieux.
Un soldat renégat, en proie aux doutes.
Une menace grandissante. Un danger imminent.

RÉSISTANCE. POUVOIR. SACRIFICE.

Pour s’opposer au Darkling, Alina devra explorer ses propres ténèbres. Au risque d’y perdre sa lumière.



Cette semaine, je vais lire...

Au moment où les dix-huit transformateurs alimentant Paris et sa banlieue en électricité explosent simultanément, le noir tombe sur la capitale et ses environs. La nuit est totale, le danger inédit. En quelques heures à peine, les rues sombrent dans le chaos. Les scènes de pillages et de violence se multiplient. La tension monte

Immédiatement, Hugo Kezer, chef de groupe à la brigade criminelle, prend le commandement de la cellule de crise mise en place pour répondre à l'urgence de la situation. Il doit avant tout comprendre qui se cache derrière cet acte criminel, cette organisation aussi élaborée. Et les raisons pour lesquelles ce black-out a été si minutieusement orchestré.

Une course contre la montre s'engage alors pour Kezer, d'autant plus éprouvante que les menaces sont nombreuses et pourraient bien mettre en danger celles et ceux qu'il aime...


Ensuite, je lirais...

Alice croyait avoir trouvé la maison de ses rêves...

Quand Léo et elle emménagent au Cercle de Finsbury, une résidence haut de gamme en plein Londres, la jeune femme est persuadée de prendre enfin un nouveau départ. Et tant pis si les choses sont allées un peu vite avec Léo et si celui-ci a pris en charge leur emménagement sans véritablement la consulter. La maison est parfaite, la résidence idéale, et les voisins semblent si accueillants !

... Mais ce fut celle de ses pires cauchemars.

Lorsqu'Alice apprend que Nina, qui vivait dans la maison avant qu'ils n'emménagent, y a été sauvagement assassinée, le vague sentiment d'insécurité qu'elle ressentait jusqu'alors se transforme en peur, puis en terreur. Une présence étrange semble hanter les murs et ni Léo, qui semble lui cacher beaucoup de choses, ni les voisins, qui consacrent le plus clair de leur temps à s'épier les uns les autres, ne la rassurent.

Et puis l'on passe bien trop facilement d'une maison à l'autre, à l'intérieur du Cercle, pour pouvoir y dormir en paix. 

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