Interview - Kentin Jarno
Cela faisait longtemps que je n'avais pas fait une interview, et cette fois-ci, on se focus sur Kentin Jarno, l'auteur de la trilogie "Ce qui nous consume" en cours de parution chez &H.
1. Bonjour Kentin, et merci d'avoir accepté de faire cette interview. Premièrement, pour ceux qui ne te connaitraient pas, pourrais-tu te présenter ?
Bonjour, je m’appelle Kentin Jarno, je suis auteur publié depuis 2017 et c’est devenu mon métier à plein temps en 2020. Très versatile, j’aime toucher à différents genre, principalement la romance et la fantasy. Mon dernier roman, ‘Ce qui nous consume’ est sorti le 6 septembre dernier chez HarperCollins dans la collection &H.
2. Le genre central de votre écriture est la romance et ses "sous-genres". Qu'est-ce qui a fait que vous avez décidé d'écrire quasiment que de la romance ?
Un concours de circonstance. À l’origine, j’écrivais exclusivement de la fantasy jusqu’à tomber dans la fanfiction. C’est là que j’ai commencé à écrire des histoires d’amour. J’ai publié un premier texte en maison d’édition et une chose en entraînant une autre, j’ai continué.
3. Quelles sont vos tropes préférées en romance si vous en avez, et pourquoi ?
En tant que lecteur, j’apprécie beaucoup les best Friends to lovers, et la proximité forcée. En tant qu’auteur, j’aime beaucoup les enemies to lovers et également la proximité forcée.
4. Passons à votre nouvelle saga, Ce qui nous consume, dont le 1er tome est sorti chez &H en septembre dernier. Comment vous est venu l'idée d'écrire une saga liant romance et monde de la mode ?
Je suis un grand fan de mode, de luxe, de Haute Couture. Je suis tout ce qui se passe dans cet univers et j’avais très envie de pouvoir proposer un récit qui embarque les gens là-dedans, pour pouvoir partager ma passion avec le monde au travers d’une lecture plaisir… et pleine de rebondissements.
5. Le personnage d'Evan est assez décalé, si l'on peut dire : il possède un QI de 176, a des yeux vairons et surtout est un handicapé des sentiments et donc de l'amour... Comment est né Evan ? Vient-il uniquement de votre imagination ou est-il un mélange de personnes réelles que vous avez croisé dans votre vie ?
Evan est né de ma volonté d’avoir un personnage qui casse les codes du mannequin stéréotypé (beau et bête). J’ai fait en sorte qu’il soit très intelligent, mais je voulais aussi que cet atout soit sa plus grande faille. Ses difficultés avec les conventions sociales et le second degré en faisait le héros parfait pour mettre en face d’Ophélie, notre couturière sarcastique qui en a ras-le-bol des faux-semblants. Ce vent de sincérité brutale va la déboussoler... avant de la charmer.
6. On a pu découvrir sur vos différents réseaux que vous avez été à la Fashion Week de Paris et que vous avez pu remettre un exemplaire dédicacé à Léna Mahfouf. Comment c'était ? Vous a-t-elle fait un retour ?
C’était incroyable. Un rêve éveillé. Elle a été adorable, je suis tellement heureux d’avoir pu lui remettre un exemplaire dédicacé de ‘Ce qui nous consume’, sachant qu’elle apparaît dans le livre. Je n’ai pas encore eu de nouvelles d’elle ce qui ne m’étonne pas, elle est très occupée. Un jour peut-être…
7. Sans trop spoiler, à quoi doit-on s'attendre dans le second tome de Ce qui Nous Consume au vu de la fin du premier ?
Le deuxième tome de ‘Ce qui nous consume’ est celui des retrouvaille. Ophélie et Evan vont de nouveau être amené à se croiser. Reste à savoir dans quelles conditions et dans quelles dispositions psychologiques… en tout cas, si je vous réserve toujours autant d’humour, attendez vous à beaucoup plus d’émotions. De la sincérité, des cœurs à vif, des obstacles, de la complicité…
8. Merci Kentin pour votre temps et votre gentillesse, je vous souhaite une belle sortie pour ce second tome que j'attends avec impatience !
Merci beaucoup, c’est adorable.
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