Deux jeunes gens sont enlevés et séquestrés au fond d’une piscine vide dont il est impossible de s’échapper. À côté d’eux, un pistolet chargé d’une unique balle et un téléphone portable avec suffisamment de batterie pour délivrer un terrible message : « Vous devez tuer pour vivre. » Les jours passent, la faim et la soif s’intensifient, l’angoisse monte. Jusqu’à l’issue fatale.
Les enlèvements se répètent. Ce sont les crimes les plus pervers auxquels le commandant Helen Grace ait été confrontée. Si elle n’avait pas parlé avec les survivants traumatisés, elle ne pourrait pas y croire. Helen connaît les côtés sombres de la nature humaine, y compris la sienne ; pourtant, cette affaire et ces victimes apparemment sans lien entre elles la laissent perplexe. Rien ne sera plus terrifiant que la vérité.
Les enlèvements se répètent. Ce sont les crimes les plus pervers auxquels le commandant Helen Grace ait été confrontée. Si elle n’avait pas parlé avec les survivants traumatisés, elle ne pourrait pas y croire. Helen connaît les côtés sombres de la nature humaine, y compris la sienne ; pourtant, cette affaire et ces victimes apparemment sans lien entre elles la laissent perplexe. Rien ne sera plus terrifiant que la vérité.
Avis :
Plongée dans une histoire un peu étrange avec une fliquette SM, une tueuse en série (oui oui, vous avez bien lu), Am Stram Gram (au vu de la 4ème de couverture) promettait un thriller haletant. Pour ce côté là et le côté intrigue de malade, on repassera. Mais le jeu de la serial killeuse est original, et porte bien le nom du bouquin.
Pas trop de descriptions, pas trop de violence, le parfait bouquin policier. Même si, j'avoue, je l'aurais voulu un peu plus gore. Par contre, le stéréotype du flic vulnérable, instable et celui du chef corrompu m'a dérangé un chouïa et ça n'a pas rendu le truc crédible quand j'y repense. Cependant, le côté post-kidnapping est bien fait et on arriverait presque à ressentir ce que ressentent ces survivants, avec la culpabilité, le doute, la peur...
Le rythme du roman est fait de courts chapitres, un peu trop courts, et un peu bâclé sur la fin, qui n'en est pas tellement une. De là à dire que c'est un thriller extrêmement noir, faut peut-être pas exagérer non plus, mais ça reste quand même une bonne lecture.
Plongée dans une histoire un peu étrange avec une fliquette SM, une tueuse en série (oui oui, vous avez bien lu), Am Stram Gram (au vu de la 4ème de couverture) promettait un thriller haletant. Pour ce côté là et le côté intrigue de malade, on repassera. Mais le jeu de la serial killeuse est original, et porte bien le nom du bouquin.
Pas trop de descriptions, pas trop de violence, le parfait bouquin policier. Même si, j'avoue, je l'aurais voulu un peu plus gore. Par contre, le stéréotype du flic vulnérable, instable et celui du chef corrompu m'a dérangé un chouïa et ça n'a pas rendu le truc crédible quand j'y repense. Cependant, le côté post-kidnapping est bien fait et on arriverait presque à ressentir ce que ressentent ces survivants, avec la culpabilité, le doute, la peur...
Le rythme du roman est fait de courts chapitres, un peu trop courts, et un peu bâclé sur la fin, qui n'en est pas tellement une. De là à dire que c'est un thriller extrêmement noir, faut peut-être pas exagérer non plus, mais ça reste quand même une bonne lecture.
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