Toute cette histoire de concours était censée se dérouler simplement. Je sais, je sais. Lancer le concours du "Papa le plus sexy" pour regagner la confiance de mon patron, et sauver l'un des magazines en ligne pour lequel je travaille, c'était mon idée. Mais je ne pouvais pas prévoir que le concurrent numéro dix, soit le terriblement sexy Grayson Malone.
Monsieur Compliqué en personne. Parce que Grayson m'a bien connue lorsqu'on était plus jeunes, et je lui rappelle son passé. Et aussi la femme qui lui a brisé le coeur, et qui l'a quitté, le laissant élever seul le petit garçon le plus adorable que j'ai jamais vu.
Mais pas question d'entamer une relation, encore moins avec un papa célibataire qui trimbale des valises. Même s'il a des abdos d'enfer et le sourire ravageur.
Et maintenant que le concours touche à sa fin, les six mois qui viennent de s'écouler, c'était juste pour s'amuser, ou nous avons créé quelque chose qui vaut la peine de tout risquer ?
Avis :
Après avoir apprécié le tome 2 sur Grady & Dylan, j’en attendais de même pour le tome sur Grayson. Mais la faute à ce dernier qui m’a agacée au possible, je n’ai pas apprécié ma lecture et en ressort plus que mitigée.
Sidney travaille dans une grosse entreprise de magazine mais lorsqu’elle fait une grosse erreur, elle se retrouve envoyée dans sa ville natale pour bosser sur un magazine dont les chiffres dégringolent. En lançant un concours du papa le plus sexy, elle s’attendait à tout sauf à tomber sur Grayson Malone. Les années les ont changés tous les deux et l’ambiance entre eux est tendue.
J’avoue ressortir déçue de ce troisième tome des héros de K. Bromberg. La romance est plutôt prévisible, l’intrigue pas forcément très dingue non plus, le rythme est plus ponctué par les conneries de Grayson qu’autre chose. On a par contre une bonne touche d’humour grâce à certains personnages et ça contrebalance un peu tout ce qui manque à ce roman.
Concernant les personnages, j’ai détesté Grayson. Certes, il a souffert, il en a chié, il a fait des conneries. Mais réagir comme il le fait sur tous les chapitres, à être un connard sans nom avec Sydney… J’avais envie de le baffer tellement de fois que je n’ai absolument pas apprécié le découvrir.
Quant à Sydney, elle a beau essayer de montrer qu’elle a changé, c’est comme parler dans le vide. J’ai vraiment eu mal au cœur et à sa place, j’aurais envoyé boulé Grayson une fois pour toute au lieu de m’y accrocher. Où est passée sa fierté et son estime d'elle ? Dommage qu'elle se soit laissée bouffer par un con pareil !
Par contre, Luke ♥ ! Ce bout de chou est tellement touchant, adorable, drôle de par son innocence enfantine. Certes il veut trouver une « maman » mais il veut surtout être comme ses camarades. Sa détresse sous-jacente, sa peine, et son envie d’être comme les autres m’a faite fondre cent fois durant ce roman (entre l'histoire de la PS4 et son rôle de "serveur"). J’avais envie de le prendre dans mes bras tant de fois… Il apporte une sacrée touche d’humour dans le roman, qui comme je le disais, rattrapait ce qu’il manquait.
J’ai adoré retrouver Emerson, Grant, Grady, Dylan, et les parents Malone. On découvre vraiment le patriarche Malone, même si la matriarche Malone n'est pas mise de côté. J’ai bien évidemment aimé Rissa. J’ai eu beaucoup de mal à la cerner, j’avais peur qu’elle joue double jeu et soit gentille en face et garce derrière mais non. Certes, certains de ses « actes » étaient un peu excessifs, mais pas tant que ça quand on y réfléchit.
Je suis malheureusement passée à côté de cette lecture à cause de Grayson en grande partie. Dans le genre personnage principal masculin antipathique et agaçant, on peut pas pire... Quoi que. Dommage pour le roman, parce qu'il avait du potentiel.
Après avoir apprécié le tome 2 sur Grady & Dylan, j’en attendais de même pour le tome sur Grayson. Mais la faute à ce dernier qui m’a agacée au possible, je n’ai pas apprécié ma lecture et en ressort plus que mitigée.
Sidney travaille dans une grosse entreprise de magazine mais lorsqu’elle fait une grosse erreur, elle se retrouve envoyée dans sa ville natale pour bosser sur un magazine dont les chiffres dégringolent. En lançant un concours du papa le plus sexy, elle s’attendait à tout sauf à tomber sur Grayson Malone. Les années les ont changés tous les deux et l’ambiance entre eux est tendue.
J’avoue ressortir déçue de ce troisième tome des héros de K. Bromberg. La romance est plutôt prévisible, l’intrigue pas forcément très dingue non plus, le rythme est plus ponctué par les conneries de Grayson qu’autre chose. On a par contre une bonne touche d’humour grâce à certains personnages et ça contrebalance un peu tout ce qui manque à ce roman.
Concernant les personnages, j’ai détesté Grayson. Certes, il a souffert, il en a chié, il a fait des conneries. Mais réagir comme il le fait sur tous les chapitres, à être un connard sans nom avec Sydney… J’avais envie de le baffer tellement de fois que je n’ai absolument pas apprécié le découvrir.
Quant à Sydney, elle a beau essayer de montrer qu’elle a changé, c’est comme parler dans le vide. J’ai vraiment eu mal au cœur et à sa place, j’aurais envoyé boulé Grayson une fois pour toute au lieu de m’y accrocher. Où est passée sa fierté et son estime d'elle ? Dommage qu'elle se soit laissée bouffer par un con pareil !
Par contre, Luke ♥ ! Ce bout de chou est tellement touchant, adorable, drôle de par son innocence enfantine. Certes il veut trouver une « maman » mais il veut surtout être comme ses camarades. Sa détresse sous-jacente, sa peine, et son envie d’être comme les autres m’a faite fondre cent fois durant ce roman (entre l'histoire de la PS4 et son rôle de "serveur"). J’avais envie de le prendre dans mes bras tant de fois… Il apporte une sacrée touche d’humour dans le roman, qui comme je le disais, rattrapait ce qu’il manquait.
J’ai adoré retrouver Emerson, Grant, Grady, Dylan, et les parents Malone. On découvre vraiment le patriarche Malone, même si la matriarche Malone n'est pas mise de côté. J’ai bien évidemment aimé Rissa. J’ai eu beaucoup de mal à la cerner, j’avais peur qu’elle joue double jeu et soit gentille en face et garce derrière mais non. Certes, certains de ses « actes » étaient un peu excessifs, mais pas tant que ça quand on y réfléchit.
Je suis malheureusement passée à côté de cette lecture à cause de Grayson en grande partie. Dans le genre personnage principal masculin antipathique et agaçant, on peut pas pire... Quoi que. Dommage pour le roman, parce qu'il avait du potentiel.
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