Obi-Wan Kenobi - Episode 4

À la suite de la chute de l'ordre Jedi, l'Empereur Sith Palpatine a installé son régime de fer sur la galaxie, et dix ans après l'exécution de l'Ordre 66, Obi-Wan Kenobi mène une vie d'ermite sur la planète Tatooine en accomplissant sa mission : veiller discrètement sur le jeune Luke Skywalker face à la menace que représente l'Empire, et en particulier son ancien apprenti, devenu le bras armé de l'Empereur, Dark Vador, qui est aussi le père de Luke. 

Risque de spoilers si vous n'avez pas encore vu la série Obi-Wan Kenobi sortie ce mercredi sur Disney+

Avis :

Après trois épisodes très intéressants, il faut avouer que le quatrième est clairement en dessous de ses prédécesseurs. 

On retrouve Obi-Wan après l'affrontement avec son padawan devenu Dark Vador. En souffrance, il récupère tant bien que mal de ses blessures tant physiques que psychologiques, tandis que Leia est emmenée dans le vaisseau des inquisiteurs. J'ai trouvé la guérison d'Obi-Wan un chouïa rapide à mon goût car ça ne permet pas de montrer l'impact qu'a eu cet affrontement sur le jedi. 

Cependant, on voit qu'il retrouve peu à peu foi en la force alors qu'il tente de sauver (encore une fois) Leia des Inquisiteurs et surtout de Reva. Mais dans tout ce sauvetage, il y a une chose qui m'a interpellée : la scène de la fuite de Leia, Obi-Wan et Tala... Vous allez pas me dire que Leia était magnifiquement bien cachée et que les Stormtroopers n'ont rien vu ? 

Dans les autres points, j'ai trouvé la scène du sauvetage de Leia bien faite mais j'en aurais cependant demandé un chouïa plus. La relation en Obi-Wan et Leia se renforce et devient touchante, j'ai hâte de voir comment cela va évoluer. De plus, j'ai bien aimé le parallèle dans l'introduction de l'épisode : Obi-Wan et Anakin dans leurs cuves à bacta respectives.

J'en attends énormément pour l'épisode 5 : moins de facilités scénaristiques, plus d'aperçu sur le psychologique d'Obi-Wan et surtout : plus de Dark Vador (même si ok, c'est pas une série sur lui, il fait partie d'Obi-Wan). 

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