New-York des années quatre-vingt. Des disparitions mystérieuses se multiplient dans les rues et la liste des morts s’allonge alors qu'un médecin fait une découverte macabre. La ville, pourtant habituée à affronter la violence sous toutes ses formes, va devoir s’habituer à une menace comme elle n’en a jamais connues auparavant.
Potentiels spoilers si vous n'avez pas vu la série
sortie mercredi dernier
Avis :
C'est un plaisir de retrouver la série, même si ça ne fait pas longtemps que j'ai vu la première partie de la saison précédente.
Cette onzième saison démarre très lentement et autant j'ai pas eu de mal à rentrer dans l'histoire, autant je n'ai pas su voir le côté "horreur" du thème mis à part le côté cuir/chaînes de l'univers BDSM. Du point de vue de la police, des journalistes et de simples citoyens, on va plonger dans cette histoire de meurtres. En parallèle, on découvre que des cerfs et daims sont infectés par un virus. Même si j'ai un peu de mal à saisir le lien entre les deux, j'ai une idée qui traîne dans un coin de ma tête.
Dans les bons points, toute l'ambiance des années 80 est bien retranscrite, tant par la musique que les décors et les tenues. On découvre de nouvelles têtes dans cette saison (Charlie Carver est parfait dans son rôle, tout comme Russell Tovey et Joe Mantello), mais on retrouve aussi des habitués de la série comme Billie Lourd, intrigante dans son rôle, ou Zachary Quinto qui est profondément dérangeant.
A voir ce que vont donner les épisodes suivants, mais pour le moment, c'est plus American Thriller Story qu'American Horror Story.
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